samedi 29 mars 2008

Un brouillon… d’coeur?*

Il y a souvent des moments où je pense à toi.

Pendant ces moments, je bande ferme les yeux et j’essaie de me souvenir les causes qui nous ont poussées à séparer nos chemins. Tordu, mon esprit bifurque vers l’autre sens dans ta direction… mais ton pas accéléré ne me permet pas de te rattraper. Alors je me retrouve à chercher la raison parmi le néant, en manque. seul.

La masturbation prend trop de place Je ne sais plus quoi faire sans toi.

Je suis en criss perdu.

Il y a trop de questions que j’aimerais pouvoir te poser comme l’autre gars baise t-il mieux que moi? , mais aucune interrogation précise ne me vient à l’esprit. Brouillé, je crois que mon seul désir actuel serait de pouvoir jouir entamer une conversation avec toi comme dans le temps. Tu te souviens?

Hélas, ces souvenirs ont sûrement disparus avec l’apparition de celui qui te prend par derrière a su charmer ton cœur à nouveau, comme tu as fait avec moi le mien.

D’ailleurs, mon pénis cœur t’appartient encore, tu sais? Même s’il est un peu mou fragile ces temps-ci. Mais t’inquiète, j’ai pas perdu ma libido raison de vivre, pas encore.

Bref, ce que j’essaie d’écrire c’est que criss que je trouve ça plate coucher avec d’autre filles je m’ennuie de toi. Un peu Enormément.

Il n’existe pas un seul jour pour moi où je ne peux me branler sans penser à toi. Ça me fatigue.

Savais-tu que les requins mâles ont deux organes génitaux?

Bref, désolé, fallait que ça sorte. Mon pénis cœur avait besoin de faire le vide.

Je t’envie t’aime encore, de tout mon cœur.

--------------------------------------------------

*Paru sur le célibatorium le 17 novembre 2007

3 commentaires:

Kaleyinn a dit...

J'adore ce texte! les ratures sont tellement bien placé! :)

tu écris vraiment bien JF :)

Elise a dit...

J'aime beaucoup le texte moi aussi.

Anonyme a dit...

J'aime beaucoup, c'est drôle. Ou peut-être pas. Peu importe. J'aime les ratures, et la forme aussi. Ah, les mots.